Centre d'Études et de Recherches

sur les Phénomènes Inexpliqués

Les livres maudits


"Les livres maudits" de Jacques Bergier, est un livre que vous pouvez lire en téléchargeant le document disponible ici. La lecture en est plutôt rapide et facile et non dénuée d'intérêt, même s'il est important de signaler que tout n'y soit pas forcément à prendre pour de l'argent comptant. Avant d'aller plus loin et pour la bonne compréhension de ce qui va suivre, il est utile d'en savoir un peu plus sur l'auteur

Pour ce faire, nous mettons notamment à votre disposition la vidéo ci-dessus (merci de nous signaler via le lien "contact" si elle venait à ne plus être disponible.), en vous invitant à en assimiler les propos tout en se rappelant que cela date de 1959 ! Si ce que notre homme raconte est vrai, voilà qui en dit long sur la conquête spatiale puisque dès 1959 il prétendait que l'Homme était capable d'envoyer des engins munis de caméras en dehors du système solaire. Rappelons à tout hasard qu'il allait encore falloir 10 ans pour que l'on mette le premier pied sur la Lune !) Mais ne brûlons pas les étapes et voyons à présent ce que dit de lui Wikipédia.

On comprend mieux, à cette lecture, le caractère paradoxal de l'individu, à la fois homme de science s'il en est, "science-fictionniste" et promoteur du paranormal, de certaines parasciences (patascience), journaliste et ancien espion, etc. Ses théories ont souvent été critiquées et controversées et l'une de ses oeuvres majeures (Le Matin des magiciens), qualifiée de pseudoscience est aussi considérée par certains comme relevant de la pure invention. https://www.youtube.com/watch?v=JVIv7Kh3VgA

Quoi qu'il en soit, on pourrait - à son sujet - à tout le moins se demander comment il fut possible pour cet homme (qui parlait une dizaine de langues...) à la mémoire eidétique (il pouvait lire jusqu'à dix livres par jour au mieux de sa forme !), d'être aussi productif. Faut-il croire qu'il était doué d'une prodigieuse imagination, mais que cette dernière a aussi été alimentée par un nombre prodigieux de connaissances réelles acquises à la fois par ses multiples travaux et le fait d'avoir été la bonne personne au bon endroit ?
En tous cas, il fut indéniablement visionnaire, voyant ainsi longtemps avant l'heure le développement d'Internet, la structure des ordinateurs portables ou fixes, le recours à un serveur avec paiement proportionnel au temps de connexion, etc. Et il ne s'agit que d'un exemple ! Si l'on en veut un autre, nous évoquerions le fait que chaque humain serait finalement fiché sur l'un de ces ordinateurs et, hélas ou heureusement, nous voyons très bien que si ce n'est déjà fait, c'est en tous cas en excellente voie de réalisation !
Malgré ses connaissances et sa science, Jacques Bergier a aussi été considéré en maints endroits comme un farfelu, sinon un menteur. C'est notamment la raison pour laquelle nous estimons qu'il faut être prudent par rapport à ses révélations, sans pour autant devoir tout rejeter, ce qui - à notre avis - serait une grave erreur.
Nous pouvons à présent en venir au sujet qui nous intéresse, à savoir le livre sur les livres maudits. Nous n'épiloguerons pas outre mesure sur ce domaine extrêmement vaste et ses ramifications (on pourrait aisément réaliser l'équivalent de tout le site du CERPI sur celui-ci) mais nous allons, comme promis, ouvrir nombre de portes sur chacune desquelles nous dirons un mot plus ou moins conséquent, car le jeu en vaut la chandelle...

Nous allons évoquer tout d'abord la "couche superficielle" qui se compose des sujets "majeurs" (bien qu'il en existe beaucoup d'autres en filigrane), laquelle comprend : le livre de Toth, la bibliothèque d'Alexandrie, les stances de Dzyan, le secret de l'abbé Trithème, le manuscrit e Voynich, le manuscrit Mathers, Excalibur (le livre qui rend fou), l'affaire du professeur Filippov, la double hélice, ce n'est déjà pas mal ! (Nous fournissons certains liens en général pour édification et ceux de Wikipédia pour information. Toutefois, ces liens seront ultérieurement réactualisés et pointeront vers des articles de notre conception, lesquels ne présenteront pas forcément la même version).
Mais au travers de ces sujets, on trouve : les hommes en noir, la stéganographie, les pyramides, la Golden Dawn, Mme Blavatsky, les civilisations extraterrestres, la scientologie, la dianétique, Freud et Jung, et nous débordons déjà sur certaines personnalités parmi lesquelles il faut citer Aleister Crowley, évidemment Ron Hubbard, Manson, John Dee, ce qui nous fait revenir au miroir concave noir et au langage énochien, et nous en passons. On voit que l'on se disperse très facilement. C'est qu'en fait, pratiquement tout se mélange, s'entrecroise ou s'entremêle au profit d'une même histoire générale dont les éléments semblent apparemment dissociés. C'est probablement là que les choses deviennent intéressantes car on imagine volontiers que les hommes en noir font partie intégrante mais aussi exclusive de l'ufologie, or il pourrait s'agir d'une engeance appartenant à un groupe de survivants d'une ancienne civilisation qui aurait précédé la nôtre et qui serait chargée de contrôler le savoir afin d'éviter les débordements et l'anéantissement. L'idée réside dans le fait que tout savoir n'est pas forcément bon à détenir et que certains de ceux-ci sont potentiellement très dangereux, pouvant à l'extrême être à ce point destructeur qu'ils pourraient provoquer une apocalypse (dans le sens de fin du monde).

Fidèles aux principes des détectives privés, nous avons évoqué la problématique des hommes en noir ailleurs dans ce site pour signaler que ces derniers, qui existent indéniablement, ne répondent pas forcément au descriptif qui en est fait et qui répond d'ailleurs à leur appellation. Nous expliquons en effet que cette uniformité serait en quelque sorte néfaste à leur confidentialité et que ces hommes peuvent tout à fait exercer en dehors de cet "uniforme". Dans cette mesure, plusieurs éléments de certains de nos partenaires ont pu témoigner de leur présence en certaines occasions. C'est là un point qu'ignorent généralement beaucoup de lecteurs du CERPI. Ce qu'ils ignorent également, c'est que le CERPI a, lui aussi, probablement eu affaire à ces "hommes en noir" de plusieurs manières très différentes dont les origines probables sont très révélatrices. Nous pourrions évoquer notamment les services secrets, des groupements militaires ou para-militaires, d'éventuels extraterrestres ou personnes veillant à leurs intérêts ou à des intérêts assimilables de la part de milieux militaires, ou encore les représentants de sociétés secrètes.
Beaucoup de lecteurs du CERPI ne savent pas - par exemple - que notre groupement, au cours de certaines de ses enquêtes portant (en connaissance ou en méconnaissance de cause) sur des sujets sensibles, nous ont obligé à changer notre fusil d'épaule et à user d'autres stratégies (en évoluant notamment "par la bande"). Certains des nôtres se sont aussi trouvés dans des situations très périlleuses en constatant qu'ils avaient à faire à des éléments extrêmement douteux et dangereux se revendiquant des services secrets américains mais aussi du milieu du show business et de la drogue (souvent étroitement liés). Il est d'ailleurs remarquable que ces milieux se soient retrouvés, à parfois plusieurs années d'écart, à l'œuvre dans le même type d'affaire (ce qui n'apparaissait pourtant pas du tout au premier abord) et en des endroits différents, mais ce qui est plus inattendu encore : en corrélation avec certains médias. Compte tenu des relations respectives il est facile de lire entre les lignes et de conclure à un gigantesque mouvement tentaculaire et multipolaire, dont les desseins sont clairement complotistes, lesquelles s'autofinancent et assurent leur promotion avec un cynisme hallucinant. Il faut comprendre ici que l'on fait feu de tout bois et que la fin justifie les moyens même au travers de fortes contradictions apparentes, ce qui présente d'ailleurs l'énorme avantage de pouvoir brouiller les pistes à souhait. Il y a donc, très certainement, une "organisation" qui agit en dehors du contrôle généralement établi, qui mange probablement à plusieurs râteliers et en toute connaissance de cause des différentes parties, ce qui est proprement pourtant inconcevable.

Si le savoir peut être dangereux et si certaines organisations telles que celle des hommes en noir sont chargées d'en contrôler l'accès, cela signifie qu'en plusieurs occasions nous avons touché à ce savoir, peut-être assez superficiellement mais tout de même assez que pour les inquiéter et les faire réagir. Nous avons largement assez souffert pour ne plus avoir aucun doute à ce sujet. N'oublions pas par exemple qu'il y a relativement peu de temps, le CERPI a failli sombrer corps et âme par des procédés finalement très simples mais aux conséquences redoutables, doublées d'agissements parallèles apparemment indépendants ou potentiellement indépendants mais peut-être néanmoins en corrélation.
Pour suivre les traces de Jacques Bergier, nous pourrions dire qu'en certains endroits nous avons réussi à dégager certaines affaires de plusieurs de leurs couches protectrices, qui étaient en fait de plus ou moins habiles écrans de fumée pour la population et les chercheurs de tout poil. Malheureusement, reste le noyau à casser, ce qui pour poursuivre l'allégorie pourrait s'avérer particulièrement explosif, à condition bien sûr d'y parvenir. Arrivé à ce stade, on s'aperçoit que ce sur quoi l'on aboutit n'a plus rien à voir avec les postulats de départ et se présente sous une forme nettement plus hermétique et sévèrement gardée (par les autorités, la justice, l'armée sous différentes formes et ramifications, les milieux scientifiques parfois aussi mais généralement de manière plus indirecte. Mais la complexité de ces affaires, parfois aussi simplement le temps qui passe (et emporte avec lui la vérité qui s'enfuit par ce biais, dirions-nous en faisant allusion au docteur Edmond Locard de la police scientifique de Lyon), la difficulté de recueillir des preuves concrètes et probantes rendent les investigations pratiquement impossibles, voire utopiques, en plus du danger qu'elles présentent nonobstant même ce sur quoi aboutiraient lesdites investigations (A quoi servirait-il de fournir des efforts surhumains et de braver mille dangers mortels si ce devait être pour découvrir quelque chose d'extrêmement dangereux qui risquerait, dans le meilleur des cas, de provoquer le chaos mondial ou, pire encore, la destruction de la planète et la disparition du genre humain ?

Bref, ces affaires hyper-costaudes se défendent d'elles-mêmes. Mais elles ont parfois besoin d'un petit coup de pouce lorsque les choses débordent ou bien que des chercheurs se font trop perspicaces tout en bénéficiant de coups de chance hors du commun (Nous avons connu ce genre de situations désespérées, au cours desquelles il nous fallait procéder par coups de bluff (ou de poker) d'un culot monstre, pour seulement obtenir une entrevue avec un sbire dont les propos étaient à déchiffrer et cela grâce au passe-droit d'un individu servant à la fois de témoin et d'accusateur formel - des obstacles totalement imprévus se sont parfois dressés sur notre chemin d'une manière qui aurait effrayé les plus superstitieux - en dépit de quoi des adversaires notoires, défendus pourtant par des professionnels marrons, ont commis des erreurs enfantines incroyables. Rien n'y faisait et ils pouvaient se le permettre, à la rigueur et dans le pire des cas car d'autres subterfuges existaient encore en marge, et non des moindres, situés à des niveaux de notre société que nul ne pourrait imaginer. Ces derniers alimentent d'ailleurs à souhait la thèse du complot - elle-même décriée avec ô combien d'ironie, ce qui constitue la quadrature du cercle en matière de complotisme. Il s'agit là d'une méthode qui existe de manière absolument indéniable (nous l'avons vécu et pouvons tout à fait en attester, contre vents et marées) ce qui nous fait dire que ces complots existent bel et bien. Il ne faut cependant pas nous faire dire ce que nous n'avons pas dit, à savoir que toutes les théories du complot seraient avérées. Cela ne serait pas vrai : toutes les théories complotistes ne sont pas vraies. Mais pratiquement toutes reposent sur un fond de vérité. En fait, notre société navigue sur des flots de mensonges, de désinformation, de dissimulation, de manipulation et les hommes en noir y agissent selon nous en tant que régulateurs, lesquels sont parfois eux-mêmes dépassés par les événements. Surviennent alors, comme par miracle dans l'histoire d'une nation, d'autres événements apparemment sans rapport et totalement imprévisibles : rien ne serait moins vrai. Car il ne faudrait pas oublier les ramifications et entrecroisements que nous avons signalés plus haut et qui, eux aussi, agissent par la bande ! On connaît ainsi par exemple des cas remarquables où certains faits devaient à ce point être dissimulés soi-disant pour l'intérêt national que des organisations ont échafaudé des stratagèmes inimaginables seulement pour discréditer ceux qui étudiaient les complots qui auraient été susceptibles de donner corps à ces faits. (Mai 68 est un exemple discutable, mais il y a l'affaire Ummo, entre autres).
Tout cela donne bien évidemment le tournis et nous sommes loin, vraiment très loin d'avoir envisagé toutes les possibilités. Si bien que les propos de notre Jacques Bergier, que ce soit dans la seconde vidéo présentée ci-dessus (1978) ou dans son bouquin sur les livres maudits (et même le Matin des Magiciens qu'il a le front de présenter comme rigoureusement exact (ce qui nous semble un peu fort tout de même)) ne nous étonnent pas outre mesure. Ils nous paraissent au contraire parfaitement possibles, même si tous ne reflètent pas la stricte vérité. Ainsi, si les extraterrestres reviennent de manière très récurrente dans ce sujet, c'est à la fois très plausible et finira très probablement par se prouver, et à la fois leur faire endosser un rôle qu'ils ne joueraient pas tout simplement parce qu'ils n'en n'auraient nul besoin. Expliquons-nous à ce sujet : premièrement l'appellation "extraterrestre" pourrait être surfaite, car il s'agirait d'un terme générique éventuellement inapproprié (n'oublions pas que l'HET n'est en fait qu'une hypothèse). L'apparition de l'Homme sur Terre pourrait n'être que le fait d'une panspermie qui n'invaliderait aucunement Gaïa ni l'intervention "d'extérieurs", mais d'extérieurs relatifs, lesquels agiraient par la diversité de leurs factions soit de manière bienveillante en constituant peut-être nos pères génétiques, soit de manière colonisatrice beaucoup plus intéressée. Quoi qu'il en soit, notre évolution et plus exactement notre évolution parallèle, non officielle, pourrait sans adjonction externe posséder tant de secrets qui leur seraient fallacieusement attribuables que nombre de chercheurs actuels s'en trouveraient abusés et leur en donnerait erronément la paternité et la récupération par rétro ingénierie par exemple. Il est d'ailleurs remarquable, à ce sujet, de constater comment certains chercheurs, scientifiques de haut niveau, ont subi des politiques de dénigrement particulièrement sournoises et acharnées de la part de "l'ordre établi" en dépit même des apports frauduleux en guise de lest (sans jeu de mots) émanant des services secrets afin de protéger certaines connaissances dont l'aboutissement se situait pourtant à un niveau bien plus bas ! Certains ont eu le tort (ou le génie) d'alors se retrancher dans la bande dessinée ou la science-fiction, à charge des lecteurs de lire entre les lignes. On le conçoit cependant aisément, l'impact était alors considérablement atténué, voire complètement défait.
Tout ceci pour dire encore une fois que la position de Jacques Bergier à propos des livres maudits et des hommes en noir est parfaitement défendable et même parfois encore en dessous de la réalité de terrain. Nous possédons plusieurs livres mentionnés par l'auteur et les considérons à juste titre comme très précieux, même s'il ne s'agit pas toujours d'une version originale. Nous les détenons parfois d'un personnage qui lui-même a été victime d'une forme d'hommes en noir (qui auraient sévèrement agi sur sa personne) et d'expériences secrètes de la part de son gouvernement (français) lors de la guerre d'Algérie. Nous avons introduit dans cette zone de nombreux articles qui démontrent, en veux-tu en voilà, le caractère plus que probable, presque certain, de la chose.
Que l'on tente de freiner, de limiter, voire d'interdire l'accès à certaines connaissances paraît chose acquise en non pas relevant de la science-fiction. Que de graves dangers planent sur la planète et son humanité est également une certitude. Cela fait penser aux paroles d'une chanson : "Si vous saviez combien de fois la fin du monde vous a frôlés...". Aussi, dans une certaine mesure, le rôle des hommes en noir nous est profondément salutaire. Sauf, bien sûr, que l'on aimerait avoir la sagesse de pouvoir faire usage de ce que nous sommes en droit de savoir par principe fondamental et donc sans limitations et la certitude que cela n'aboutisse pas à des catastrophes. C'est malheureusement là que l'on est loin du compte.
Les propos de Jacques Bergier non seulement apportent de l'eau à notre moulin quant à l'intervention d'entités très évoluées loin dans notre passé ancestral et nous sommes donc très probablement des descendants de gens venant des étoiles. Le cas échéant, cela remettrait énormément de choses en question, au niveau archéologique, égyptologique, historique, mais aussi scientifique, religieux et philosophique. Nous apprécions que cette thèse se confirme par le biais d'un individu aussi érudit que Jacques Bergier tout en déplorant aussi son côté fantasque, prompt au canular. Mais nous sommes aussi convaincus qu'en tant qu'ancien espion et coutumier des affaires relatives aux services secrets il ait parfois parsemé ses paroles de semi-fausses-pistes afin de ne pas sombrer lui-même dans le piège consistant à dévoiler trop abruptement certains sujets (tant qu'il était vivant naturellement, quant à l'après cela lui était évidemment encore plus difficile...) Ce point lui-même ressort très bien de son interview, l'avez-vous remarqué ?
Enfin, la fin du dialogue, dans la seconde vidéo, est proprement savoureux. Il ne faut pas perdre de vue, encore une fois, que tout cela date de 1978. Une date à laquelle la plupart des pionniers du CERPI en étaient encore à leurs études secondaires, une époque où l'on ne parlait pas encore d'Internet et où il n'y avait pas encore d'ordinateurs portables chez le commun des mortels comme aujourd'hui. Même le téléphone était encore rudimentaire (pas de GSM, pas de smartphone ni de réseaux sociaux, c'était le bon temps, quoi !), même la télévision était encore souvent en noir et blanc et il n'existait pas de bouquets numériques. Pourtant, Jacques Bergier voyait déjà très bien les communications-conférences réalisables par (par exemple) Skype, la Webcam, etc. Il voyait même le télétravail et la réduction du nombre d'heures de prestations par semaine, un sujet qui est actuellement mis sur le tapis et calqué d'un exemple danois. Tout cela n'était pas de la science-fiction. Ce n'était encore qu'une fiction provisoire, et elle reposait bien sur la science pure et dure. L'intervention du relais satellite y est évidente, mais on était encore loin (du moins chez nous !) de penser à l'ordinateur quantique.
Encore un mot avant de terminer pour signaler que les expériences alchimiques décrites par l'auteur sont parfaitement vraisemblables. Selon nous, il y a longtemps que le procédé visant à la fabrication de l'or est connu. Il n'est cependant pas appliqué en l'état car sa mise en œuvre n'est effectivement pas rentable. Et cela, nous le disons déjà depuis des décennies...
Cependant, comme par hasard, il est beaucoup question d'or dans la théorie des anciens astronautes ainsi que dans l'élixir de longue vie. Mais ça, c'est une autre histoire !

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